1 comment

  1. Je rentre fou de joie après les 30 km de pur bonheur. A 64 ans, j’ai couru bien des trails et des marathons (et les 100 km de Millau, si près!) mais celui de Nant restera gravé! Est ce les gorges de la Dourbie ou les hauteurs sauvages du Larzac, les petits sentiers mystérieux et envoutants du coté de Cantorbe, ou encore ces bergeries qui sentent les merveilleux fromages ? Sans doute. Bien sûr, le parcours, très varié, exigeant, sans l’ombre d’une monotonie, nous plonge dans le meilleur de ce que peut apporter un trail. Mais il y a plus encore. Cet accueil fabuleux des gens. Comme si on était invité dans les familles, qui sont heureuses de nous rencontrer et de nous faire découvrir leur petit coin de paradis. Je n’espère qu’une chose, être à Nant dans un an! Merci infiniment à tous et à toutes, et à Nadine Sauveplane, sans qui je n’aurais même pas connu l’existence de cette course.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.

Voir aussi